~ Identité ~
Nom : Starling
Prénom(s) : Eden
Surnom (s) : mon prénom n’est pas déjà assez court?
Âge : 20 ans
Sexe : fille
Date de naissance : 27 décembre 1862
Lieu de résidence : place vendôme
Profession : violoniste
~ Personnage ~
Description physique : Eden, est une très jolie fille. Elle est de taille moyenne, possède un corps fin, élancé, une magnifique chevelure lisse et blonde. Commençons par son visage, voulez vous ? Il est de forme ovale, fin, un teint pale, une peau sans imperfection, mais sa finesse fait qu’il marque vite, elle possède un front dégagé, des jolie yeux bleu qui regarde au loin... Car oui, elle est aveugle, et ceux depuis sa naissance. Son nez aquilin n’est ni trop long ni trop cour, ses lèvres sont fines, dans des tons rosés. Sa nuque fine nous mène vers le reste de sa physionomie elle est plutôt carré, ce qui lui donne un port altier, se tenant toujours droite, elle un corps fin, est pur, un coté un peu angélique, ses membre sont tout fin à la voir on pourrait penser que le vent va l’emporter. Elle a des manières douce, aucun geste brusque, une démarche aérienne, un peu trop ce qui fait qu’elle manque cruellement d’équilibre et qu’elle peut tomber à tout moment, elle parle d’un voix posé, un peu trop rêveuse peu être… on opeu aisément penser qu’elle n’écoute pas, ou qu’elle n’est pas attentive,. Comme vêtement, tout dépend, pour les concerts, il est sur qu’elle portera une jolie tenue, mais dans l’ensemble elle porte des vêtement humble, évaser, lui donnant une légère liberté de mouvement, ce qui n’est pas aisé dans cette époque ou le corset torture encore les femmes, il lui arrive d’ailleurs pour s’en soulager de se vêtir en homme, rien de plus aisé, bien qu’a son visage on remarque qu’elle est une fille.
Signe particulier : une cicatrice barrant sa nuque, une cicatrice fine, mais visible, c’est pourquoi elle porte souvent un foulard autour du coup pour éviter les questions gênantes.
Etant aveugle, ses autres sens sont étonnamment développés surtout son odorat, et son ouï, pour le touché, il est sensible très sensible surtout quand il s’agit de serer les corde, mais pour le reste ne lui en demandez pas trop. Elle aime toucher les autres, leur visage, leur épaule afin que dans son esprit elle puisse se les représenter.
Possède une canne pour aveugle en bois noble, le haut est en argent.
Description psychique et caractère : : Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle est insouciante, elle en songe à rien, ne pense à rien, elle est au summum de la spontanéité, quand elle parle elle n’a pas de filtre, ce qui agasse profondément ses parents qui aurais aimé avoir une fille qui se tienne au mœurs de l’époque quand on est une jeune demoiselle, mais c’est qu’en plus elle est têtu ! Donc pas moyen de la faire changer de ce côté là , ou alors il faut lui donner l’impression que l’idée vient d’elle, dans le cas contraire c’est râpé (comme le gruyère). Sinon elle est malgré tout une jeune fille douce, qui sait écouter le autres, et veut aider ce qui en ont besoin ;
Le fait qu’elle n’ai jamais vu l’attriste dans le fond, même si elle ne l’a jamais avoué prétextant qu’il ne peut vous manquer quelque chose que vous n’avez jamais connue. Elle peut avoir un côté mélancolique, profondément rêveur avec une aura un peu mystérieuse. Elle est dotée d’une incroyable créativité et sensibilité musicale qui, porté à leur paroxysme comme lorsqu’elle touche un voilant, déverse son incroyable génie musicale qui peut paraitre folie sous certain trait, notamment avec la complexité de morceau qu’elle invente.
Tête en l’air, elle ne prend pas forcément conscience du milieu dans lequel elle se trouve, il lui arrive de dire des choses incohérente qui n’on pas lieu d’être dans le contexte précis, son caractère un peu philosophe lui fait aussi sortir des phrase tel, qu’on se demande comment elle fait, comment elle réfléchit, quel pensée la traverse pour qu’elle puise énoncer de tel chose.
Elle rêve d’être la plus grande violoniste de son ère, rêve, chimère qui ne parait pas si lointaine, et pourtant, malgré sa virtuosité, elle sait qu’elle a encore bien du travail. Ses parents désireraient la marier, mais elle ne le veut. Pour l’instant elle se concentre sur sa carrière, et l’aide qu’elle peut prodiguer aux nécessiteux. Bien sûr que l’amour l’importe, mais elle ne veut le trouver dans un salon empestant la poudre de rose, où les mots sonne faux telle un masque dont le tintement strident agresse ses oreilles.
Elle sait que monde ne tourne pas très rond, que nombres de personnes sont dans la misère, et ca l’attriste qu’à cause de son handicape elle ne puisse faire plus pour les aider à part des donations. Elle voudrait aider les autres, matériellement certes, mais moralement. Mais elle à peur, toujours parce qu’elle est aveugle, d’être seul face à son mode fait d’obscurité.
Ce qu'il/elle aime et ses passions : la musique, cela s’entend, des qu’elle touche un violon elle pénètre un autre monde, elle se sent vivre, et la musique vie avec elle.
Elle aime le son de l’orage et l’odeur de la pluie, sentir les goute de pluie tomber sur elle, ainsi elle à le sentiment d’exister.
Elle aime découvrir les histoires des personnes, les comprendre, les aider si elle le peut. Son passa temps favori est de rêver, de créer le mode telle qu’elle le voit à travers ses yeux du cœur.
Ce qu'il/elle déteste ou ses phobies : Elle déteste ses hypocrites cette noblesse décadente, et l’arrivisme des bourgeois qui mette tout dans l’apparence. Elle a horreur de la superficialité, elle a horreur d’être aisé « plus on est démuni et plus on est riche finalement ».
Elle a peur d’être seule dans le noir, car une nuit, dans les rue de Paris, elle se fit agresser par un homme qui glui mit le couteau sous la gorge (c’est ainsi qu’elle eu sa cicatrice…) et qu’elle se fit sauver de justesse par son frère.
~ Histoire ~
Passé :
Aussi loin que remonte mes souvenirs, l’obscurité fut mon royaume. Je naquis enfant aveugle, se fut une tare dont jamais je ne me déferais. Je fus une enfant que l’on surprotégea à cause de mon handicape, je reçus malgré tout l’éducation d’une fille de ma condition. Grâce à l’alphabet braille je fus instruite sur l’écriture et la lecture. Cependant je fis toujours preuves d’une certaine maladresse, mes parents furent affectueux, ainsi que mon frère aîné. Mais là n’est pas la question, vous voulez mon histoire et je vais vous la donner. Je suis anglaise, mon père est le comte Starling, nous possédons un domaine en Irlande. Et ciel, que l’air humide et froid de ses contré me manque. Aveugle j’étais, mais très tôt je compris que je devais faire de ce point faible une force, c’est pourquoi à force de travaille et de volonté je parvins à distinguer nombre de son que tout les être humains normaux ne peuvent distinguer, et sentir, ce que moi seul, et les nez pouvons sentir. Mon frère m’aida, et fut toujours présent pour moi, notamment dans mes moments de désespoir abyssale. Je désespérer de ne pouvoir faire surgir de moi les émotions que je contenais, que je ne pouvais montrer, je me sentais dépérir, comme mourir. Non, j’étais morte. Les seuls moments où la vie semblait habiter mon faible corps étaient ceux où la voix de ma mère transperçait mon âme. Ma mère, une célèbre cantatrice londonienne. J’ai toujours eu un attrait certains pour la musique, je me plaisais à l’écouter, mais je voulais plus, je voulais la vivre, faire partie d’elle. C’est à ce moment là, que ma vie changea.
Elle changea quand j’eu 13 ans. Ma mère me prit avec mon frère pour un petit week-end dans notre demeure à la capitale. Cette après-midi là, mon frère Stamford qui avait alors 15 ans me proposa une promenade en sa compagnie. Il devait aller chercher une partition pour notre mère. Lorsque je franchis le seuil de la boutique, toutes les senteurs affluèrent vers mes narines, celle du bois finement travaillé, celle des cordes sèches, celle du cuivre, je fut comme guidé, oui c’est cella, comme une feuille qui se laisse portait par la douce brise fraiche matinale. Je montais des marches, ma main gauche posée sur la rampe. Le premier étage me fut accessible, douce liberté que celle de marcher seule. J’avançais, mais mains en avant, une odeur attiré indubitablement mon attention, je me dirigeais doucement vers elle. Et là je sentie le bois, un petit objet, un instrument à corde visible avec un archer… c’était un violon. Instinctivement je le plaçais sous mon menton. Après quelques fausse note, je compris le système des notes, et comme guidé par à une inspiration divine, je me mis à joué un air que j’avais entendu chanter par ma mère. Je fus comme transporté dans un autre monde, j’étais hors de moi-même, non, j’étais vivante, je me sentais existé, c’est comme si le monde qui m’était obscure transparaissait enfin à mes yeux. J’étais tellement prise dans cet univers enchanté que je n’entendis pas mon frère et le luthier monté, attiré par ma musique.
Je fus soumise à une série d’éloge qui ne m’atteignaient pas, une seule obsession me hantait, joué à nouveau ; c’est ainsi qu’on fit querir ma mère qui m’offrir l’instrument béni des dieux. Dès lors la passion me hanta, devint ma vie, je fis croitre mon don innée, je le fis fructifier et devin rapidement renommé en Angleterre. Mais revenons à notre histoire, le soir ou je fus ressuscité, fut aussi le plus terrifiant de ma vie ; le soir venue, on sortie à l’opéra écouter la douce voix puissante de ma mère. Mas j’avais chaud, je demandais à sortir, mon frère m’y autorisa sans m’accompagner. Je fis quelque pas dehors, sentant l’air embrumé des rue de Londres, sentait le parfum suffocant des femme richement parées, cherchant à fuir ses odeur qui offensaient mon nez, je me dirigée vers le petite rue, c’est là que je me fit agressée ; un homme me prit à la gorge et sorti un objet métallique et tranchant au vu de l’entaille qu’il me fit à la gorge ; mon frère, alerté par mon non retour me retrouva grâce aux cris que je poussaient, et le neutralisa. Se fut des plus éprouvant et depuis se jour je porte des foulards pour cacher la balafre qui est restée.
Passons sur cela voulez vous ? Avançons dans le temps. Je voulez voyager, c‘était sûr, et je voulais voyager, seule. Cela fut problématique, mon père ne pouvait souffrir se débat. Il décédât dans le courant de l’année, ma mère consentie à me laisser m’envoler et à partir pour l’opéra Garnier, mon rêve, un aboutissement comme une mise à l’épreuve…
Famille :
Origine / Nationalité : issue de la noblesse britannique, elle a décidé de partir seule contre l’avis de ses géniteur pour la France afin d’exercer son art.
Père : James Starling, comte irlandais, grand stratège militaire pour sa majesté, décédé depuis peu…
Mère : Eleanor Gwindel, cantatrice d’opéra célébrissime en Angleterre , 43 ans, réside en Grande-Bretagne
Frères et sœurs : Stamford Sarling, chef d’orchestre à Londres. 23 ans.
Autres Informations :
Instrument pour les musiciens : violon, un Stradivarius
Place dans l'Orchestre pour les musiciens : premier violon
Relations amicales / amoureuses / ennemies : elle vient d’arriver depuis peu, elle n’a pas eu le temps de faire des connaissances.
~ Hors Jeu~
Vous :
Pseudonyme / Prénom : aujourd’hui on m’a surnommé loufica à la fac XD
Age réel du demandeur : 18 ans
Localisation :
(France/Quebec/Autre...) France, depuis 3 ans officiellement. J’ai fait tout mon lycée ici et maintenant la fac !
Temps consacré sur Internet par jour : presque tout les jour grâce à la wifi de la fac , à la maison c’est au bon vouloir paternel…
Vous et le forum :
Comment avez-vous découvert le forum? Héhé par une amie^^ très bonne rpgiste d’ailleurs
Qu'est-ce qui vous a attiré dans ce forum au point de vous y inscrire? Le fait que je trouvait sympa le thème et que je pense que je vais lire le livre, j’ai vu le film plus jeune et j’aimerai bien le retrouver…
Autre, si le coeur vous en dit :je suis italienne !