Elswyn Zmeskall

Nom : Zmeskall
Prénom(s) : Ferenc Elswyn
Surnom (s) : Son premier prénom, Ferenc, signifie libre en hongrois... Mais il ne l'utilise que peu. depuis son arrivée en France, il n'utilise plus que son second prénom : Elswyn. En fait, peu de personnes connaissent son véritable prénom, et les personnes le connaissant ne l'utilisent alors que lorsqu'ils ont quelque chose à reprocher au jeuen homme... Ferenc est alors signe de mauvais présage...
Âge : 22 ans
Sexe : Homme
Date de naissance : 29 février 1860
Lieu de résidence : au sein même de l'Opéra. Et ce depuis 5 ans.
Profession : Violoniste et Altiste






Description physique :

Sa haute silhouette fine et élancée lui donne une allure presque effeminée. Allure peut-être quelque peu renforcée par ses longs cheveux bruns, presque noirs, lui tombant jusqu'à mi dos, cheveux qu'il laisse le plus souvent lâchés ou qu'il attache plus rarement en catodan, et qui encadrent un visage aux traits fins, à défaut d'être l'emblême de la beauté.

Car non, Elswyn n'est pas forcément beau : des traits un peu trop durs, accentués par un nez légèrement aquilin et un teint trés pâle, presque diaphane, rendent son visage parfois ingrat, du moins sévère, surtout quand son habituel rictus dédaigneux vient étirer ses fines lèvres pâles. Si fines que parfois, s'il les pince un peu trop, elles ne forment qu'une ligne blanche, à peine visible.

Donc non, Elswyn n'est pas vraiment l'incarnation de la beauté, mais il a un certain charme qui lui assure un certain succès auprès de la gente féminine (et parfois masculine aussi...). En fait, son plus grand atout physique est son regard. Un regard d'un bleu extrêmement sombre, presque noir, qui semble vouloir vous transpercer l'âme et lire en vous. D'ailleurs, c'est à se demander s'il ne lit pas vraiment en vous, tant parfois il semble deviner vos moindres faits et gestes. Un regard qui a, visiblement, cette faculté de mettre mal à l'aise bon nombre de ses interlocuteurs par leur intensité... ou leur méchanceté selon certains... Certains les qualifiant alors de vides et froids.

Mais ils ne sont pas toujours aussi dénués d’expression que cela. Non, ils ne sont froids que pour le monde extérieur, un monde qui n’a jamais voulu de lui, à l'entendre, et dont il ne semble pas vouloir non plus. Mais parfois, pour certaines personnes, pour ceux qui le connaissent vraiment, ils peuvent exprimer tant de choses… En fait ses yeux pourraient être le seul élément à le trahir en certaines circonstances, avec cette fâcheuse tendance à s’illuminer d’une étrange lueur quand certaines émotions menacent de le submerger…

Il a adopté une attitude générale nonchalante et quelque peu hautaine, usant de sa grandeur pour mieux toiser les inconnus qui osent l'importuner. Entre autre il s'evertue à cultiver sa faculté naturelle de tétaniser certaines personnes d'un simple regard, un regard tantôt assassin, tantôt railleur... Sa voix est une voix grave qui peut être aussi glaciale et cassante qu'un iceberg ou aussi douce et velouté que de la soie. Pour parfaire cette image mysanthropique, il tente de ne rien laisser paraître à ses possibles interlocuteurs, enfin rien de compromettant concernant ses possibles impressions réelles et sentimens les plus profonds, leur accordant qu'une expression froide et si possible indéchiffrable. Cette image va de paire bien entendu avec des tenues plutôt sombres, dans les tons noirs ou bleu nuit en grande majorité, les longues capes ou les longs manteaux ayant sa petite préférence.


Signe particulier :
- Il présente quelques vieilles cicatrices, en particulier dans son dos, mais aussi sur le bras droit (due à une ancienne fracture) et une cicatrice à peine imperceptible sur l'acarde sourcillière droite, témoignages d'un passé, pas si passé que ça, un peu violent, comme le passé de tout enfant des rues... ou totu simplement un brin turbulent comme tout garçon de son genre...
- Il présente quelques petits tics pouvant trahir sa colère (un battement de veine temporale un peu trop prononcé ou un léger frémissement des lèvres) ou son hésitation et sa confusion (un regard un peu plus appuyé encore, des lèvres un peu plus pincées, comme pour mieux éviter de se les mordiller...).


Description psychique et caractère :

Elswyn a toujours eu des idées assez arrêtées sur le monde et les créatures qui l'entourent. Autrement dit, l'ouverture d'esprit n'est pas son fort et il vous faudra moult arguments pour pouvoir le faire changer d'avis sur une idée que vous jugez erronée. Cela ne veut pas dire pour autant qu'il ne changera jamais d'avis sur la question, mais il vous faudra faire preuve de persuasion, car, il faut l'avouer, Elswyn a cette facheuse tendance de toujours vouloir avoir raison. Même quand il a tort. Il pense aussi toujours être dans son bon droit... Même si ses actions ne respectent pas toujours les lois des Hommes... S'il les enfreint, c'est qu'il juge avoir une bonne raison de le faire et pour lui, cette raison lui donne tous les droits.

Peu respectueux des règles des autres, il ne peut concevoir par contre qu'on ne suive pas ses règles à lui. Ne croyant en rien, ni en personne, il n'accepte que les lois et les limites qu'il s'est lui-même fixé. A-t-il une conscience alors? me demanderez-vous. Oui, certes. Mais il n'aime pas trop l'écouter et préfère l'enfouir bien au fond de lui même. Il a un but, qu'il atteindra coûte que coûte. Jusqu'où est-il capable d'aller? Il n'en sait trop rien, ne s'étant pas trop penché sur la question. L'avenir seul nous le dira, quand il sera devant le fait accompli... Une chose est sûre : il est outrageusement ambitieux, orgueilleux et rusé : pour lui, la fin justifie les moyens. Le tout combiné à une haute intelligence... oilà bine une combinaison dangeureuse.

De caractère méfiant et buté, Elswyn est quelqu'un de difficile à vivre. Bien campé sur ses positions, il est des plus exigeants et intransigeants, aussi bien avec les autres qu'avec lui-même. Pour lui, l'erreur, bien qu'humaine, n'est pas tolérable. De même qu'aucune contradiction avec ses décisions. Car oui, il déteste être contredit et s'il vous arrivait de le faire, autant dire que vous avez tout intérêt à avoir une bonne raison et de sérieux arguments.

Ce qui le caractèrise le plus toutefois est sans doute son côté à la fois calme et emporté. Elswyn paraît effectivement être de prime abord quelqu'un de calme, voire de froid, mais sa voix veloutée et profondément grave aux accents presque caressants peut cacher en fait une sourde colère bouillonante. Prêtez donc attention aux menus détails, et vous pourrez alors remarquer une veine qui bat un peu trop violemment à sa tempe droite, ou des lèvres légèrement frémissantes quand il s'apprête à répliquer de son ton acide. Sa langue sait alors se montrer aussi acérée que celle d’un serpent et son esprit vif et caustique s’exprime sans gêne au fil de ses répliques sarcastiques et ironiques. Il sait que son attitude est souvent inqualifiable et inexcusable, mais c’est plus fort que lui. Il semble avoir d'ailleurs un instinct pour trouver les points faibles de chacun, et ne peut s’empêcher de les exploiter au mieux, pour toucher là où ça fait mal.

Les apparences sont donc trompeuses et garre à vous s'il laisse exploser sa colère. Car oui, il est plus que coléreux et un rien suffit à l'énerver. Certes, je n'irais pas jusqu'à dire que votre vie est en danger en sa présence ombrageuse, mais si vous teniez à vos précieux petits sujets ornant votre bureau...

Elswyn est aussi extrêmement rancunier et facilement vexable. Rancunier et à l'esprit vengeur, même si sa vengeance est souvent purement puérile et ne va guère bien loin en général. Enfin, si vous ne répliquez pas vous-même outre mesure.

Vous allez alors vous exclamez au caractère impossible! Oui, vous n'auriez pas tort. Si ce n'est qu'en fait, tout ceci cache surtout une grande sensibilité. Fidèle et loyal en amitié, il est trés attentif aux regards que les autres peuvent porter sur lui. Autant il veut paraitre froid et assuré envers ceux qu'il pourra considérer comme des sous-fifres, autant il souhaite obtenir un regard approbateur, voire encourageant, de ses proches ou supérieurs. La critique de l'un d'eux, aussi infime soit-elle, le touche souvent plus qu'elle ne le devrait.

C'est également un personnage aussi assoiffé de connaissances qu'il l'est de reconnaissances. Pour lui, loisirs riment avec apprentissage, savoir et grimoires, partitions et musique.

En un mot : un caractère exécrable à la sensibilité exacerbée.


Ce qu'il aime et ses passions :

- Indubitablement, il aime le pouvoir et la puissance. Quels qu’ils soient. Il aime avoir l’ascendant sur les autres. Certainement une des séquelles de son "enfance" quelque peu difficile. Et il abuse du peu de pouvoir qu'il peut avoir sans aucun complexe.
- Il aime la perfection. Car oui, c'est un perfectionniste dans l'âme.
- Il aime la musique, bien entendu. Et tous les arts du spectacle d'une façon générale...
- Il est un assoiffé de connaissances aussi. Il aime les grimoires, les livres, les gigantesques bibliothèques, l'odeur du vieux papier, le savoir d'une façon général...

Ce qu'il déteste ou ses phobies :

- Sa plus grande peur est sans nul doute celle de retomber dans l'échelle social au bas échelon qu'il occupait dans son enfance.
- Il déteste perdre le contrôle de lui-même… Ce serait donner bien trop de pouvoir aux autres sur lui, et ça il ne peut le supporter. Cela serait aussi trahir sa sensibilité exacerbée.
- Il déteste être critiqué, et sans vouloir plaire, il a besoin d'être reconnu... et accepté par ses paires. Peut-être est-ce que il s'y prend trés mal, certainement même... Sans doute n'a-t-il pas bien lu le manuel des relations civilisées.
- Il a peur du vide... et ne sait pas nager.

Passé :

Né en 1860, en Hongrie, Elswyn a bien mal commencé dans sa vie. Dernier né d'une famille nombreuse de saltimbanques hongrois, aux idées nationalistes conservatistes, qui dénigraient le nouveau pouvoir austro-hongrois mis en place, revendiquant la pleine et entière indépendance de la Hongrie dans les discussions animées avec leurs confrères du Cirque, il fut balloté, avec ses cinq frères et soeurs tous plus âgés que lui, de pays en pays. La famille faisait en fait partie intégrante d'un Cirque, qui avait décidé de s'exiler de son pays natal, pour mieux marquer leurs idéaux nationalistes et anti-autrichiens, vivant alors de leur spectacle, que ce soit de rue ou couvert quad le Cirque pouvait enfin s eposer dans une ville digne de ce nom. Ce ne fut toutefois qu'en arrivant à Paris, que leurs propos anti-autrichiens purent s'exprimer un peu plus ouvertement sans entrainer de représailles... Le petit Cirque trouva même, au sein même de Paris, un public plus qu'ouvert à leurs revendications.

Le petit Cirque trouva sans problème une place en plein Marais et décida de s'installer définitivement dans la capitale qui leur permettait de survivre plus aisément de leurs spectacles... C'est ainsi que la famille s'installa à Paris, Tobias et Katalin, avec leurs deux aînés nouvellement intégrés à leurs numéros, en tant que funambules et trapézistes... Chacun de leurs enfants étaient alors destinés à rejoindre leur numéro de cirque tôt ou tard. Seulement voilà... Elswyn avait peur du vide. Tous ses frères et soeurs montaient déjà sur un fil tendu à deux mètres du sol dès leurs 6 ans à peine, et lui ne parvenait même pas à 7 ans à grimper à une échelle! Une honte! Une infamie! Comme disaient ses parents... Sans cesse vilipendé par les siens pour son incapacité et sa tare honteuse, que ce soit par des mots acerbes ou par des coups parfois violents, Elswyn fut vite isolé au sein même de sa famille.

Comme tout enfant de saltimbanques, il fut envoyé à la rue, afin de mieux charmer les richissimes passants par les spectacles de rue qu'ils pouvaient inventer. Si Elswyn avait peur du vide, il n'en était pas moins doté de talents... un talent tout autre que celui de ses parents... un talent qu'il avait appris à développer auprès du doyen du Cirque jugé trop vieux pour continuer cette vie de spectacle et d'acrobaties. Un doyen qui était un musicien, un violoniste. Et qui offrit son premier violon et ses premières leçons au petit renégat. C'est ainsi qu'Elswyn tomba dans la musique. Et quand les coups et la ceinture de son père pleuvaient trop fort sur son petit corps malingre, il s'empressait de se réfugier dans les harmonies sans fin de son violon...

Il jouait ainsi, après avoir reçu une des pires roustes de sa petite vie, un petite estafilade lui marquant l'arcade sourcillière droite, en face du Pont Neuf, au coin de la rue, quand un passant, petite taille ne payant pas de mine, s'arrêta un peu plus longuement que les autres. Craignant qu'il ne s'agisse, encore une fois, d'un membre de la brigade policière, Elswyn s'apprêtait à s'enfuir à toutes jambes, son violon sous le bras, mais l'inconnu fut plus rapide que lui, ayant sans doute anticipé les réactions du gamin. Il rassura de suite le mioche qu'il tenait alors par le col, lui disant qu'il ne lui voulait aucun mal, qu'il voulait juste lui parler. Lui parler de violon et de musique. A ces deux mots, Elswyn se calma instantanément et écouta l'inconnu. Sa méfiance légendaire semblait s'être comme envolée, au même rythme des notes qu'il venait de jouer... Ils parlèrent quelques instants, l'homme faisant alors voir monts et merveilles au gamin rêveur qu'il était, en lui disant qu'il était lui-même pianiste et violoniste et qu'il cotoyait nombre de grands musiciens et d'orchestre. Homme qui lui donna son nom, Claudin, et qui lui promit, sans autres explications, de revenir le lendemain, à la même heure, au même endroit.

Quelque peu intrigué de recevoir un tel rendez-vous étrange, Elswyn s'y rendit quand même. Sa curiosité maladive l'emportant sur sa terreur de se faire prendre dans un possible piège. Mais qui donc voudrait tendre un piège à un enfant aussi insignifiant que lui, n'est-ce pas? ET l'homme revint. Seul. Et sans piège. Il l'écouta alors qu'il terminait son morceau et s'avança de nouveau pour lui parler.

Le mystérieux inconnu lui disait alors pouvoir lui apprendre à mieux jouer encore et pouvait même lui offrir beaucoup, comme une carrière plus élogieuse dans un orchestre... Que de promesses! Les yeux du gamin en brillait de joie.. et de peur aussi. Peur d'être déçu. Se pourrait-il que finalement il ne soit pas si incapable de ça? Que finalement il soit bon à quelque chose, contrairement à ce que lui serinait son paternel? Il semblerait que oui. L'homme lui demanda alors de le conduire à ses parents. Elswyn hésita longuement. La punition qu'il venait de recevoir lui avait laissé un souvenir cuisant qui lui brulait encore le dos... mais c'était ausi tellement tentant. Et si...

Finalement le "et si" l'emporta, et Elswyn s'empressa de conduire l'inconnu dans les bas fonds des Marais, dans le petit enclos réservé au Cirque. Le gamin sentait tous les regards se tourner sur leur passage alors qu'il guidait l'homme à travers les dédales du Cirque. Son paternel ne les accueillit d'ailleurs pas de façon trés courtoise, détestant plus que tout attirer l'attention de ses camarades cancaniers sur lui. Déjà que son morveux de fils taré attirait suffisamment de moqueries sur eux! Inutile qu'en plus il en rajoute en jouant l'intéressant! Seulement l'homme sur se montrer convaincant, Tobias l'écouta. Elswyn tentait de suivre la conversation, mais il fut bien vite chassé, il ne put donc percevoir que quelques bribes. L'homme voulait l'emmener avec lui, il connaissait quelqu'un, un noble, qui voulait le prendre à son service, et en faire un grand artiste en échange. Son paternel ne semblait guère convaincu, mais quand l'homme tira une bourse emplie de plus de pièces que la petite famille n'avait jamais réuni en une seule année, les yeux de Tobias pétillèrent de cupidité et il accepta le marché.

Sans autre forme de procès, si ce n'est une courte étreinte avec sa mère, la seule, l'unique qui comptait à son coeur et qui lui témpoignait un minimum d'attention dans sa famille, Elswyn fut enjoint à suivre Claudin, avec son petit violon comme seul bagage. Il eut toutefois la joie de voir une dernière fois le doyen du Cirque, si cher à son coeur, qui lui offrit un large sourire en guise d'adieu. Un sourire radieux, plein de promesses et de fierté. Ce qui donna le courage au gamin d'affronter la nouvelle aventure qui l'attendait. Il fut conduit le soir même dans un imposant domaine, chez un certain Charles-Alphonse Desrousseaux de Vandières come le lui expliqua Claudin, alors qu'il le laissait dans les mains des domestiques de la maisonnée. Domestiques qui s'empressèrent de l'accueillir à bras ouverts, comme jamais on ne l'avait accueilli, de le soigner, de le laver, de le rendre présentable en un mot.

Ce ne fut que le soir que le maître de maison se présenta à lui, le recevant d'abord en tête à tête pour lui expliquer ce qu'il attendait de lui. Une des premières choses qu'il lui demanda fut de jouer du violon. Elswyn s'empressa bien entendu d'obtempérer, fort impressionné par tout ce qui lui arrivait tout d'un coup. Et il eut le plaisir de voir un fin sourire se dessiner sur les fines lèvres de l'homme, tandis qu'il hochait la tête d'un air appréciateur. Donc ce que lui avait promis laudin était vrai? Il n'avait pas menti? Non, il n'avait pas menti, lui répondit rapidement l'homme. Il entrait au service de la maison, et en échange il recevrait uen éducation convenable pour un garçon de son âge. Et une éducation musicale aussi. Un sourire ravi fut la seule réponse de Elswyn. Il avait alors huit ans. Une nouvelle vie l'attendait...

C'est ainsi qu'il grandit, dans la grande maisonnée, auprès d'une jeune fille au caractère bien trempé de deux ans plus âgée que lui, sa soeur de coeur en un sens : Elisabeth de Castaignac. Il apprit beaucpp tout en fait. Les bases de toute éducation bien mise, comme lire, écrire, compter, lui qui ne savait pas grand chose de tout ça à son arrivée... l'histoire, la géographie, les sciences, la littérature... le savoir-vivre aussi, bien que cela fut bien plus difficile pour lui, qui garda cette facheuse tendance à se mettre dans les pires situations sans le faire véritablement exprès, ainsi que son éternel caractère vagabond.. Et la musique aussi. La musique... Que ne ferait-il pas sans elle?

Il eut l'extrême joie de voir alors l'Opéra réouvrir ses portes. Et, comme le lui avait promis Claudin à leur rencontre, il entra dans un orchestre renommé... celui du dit opéra, alors qu'il n'avait tout juste que dix-sept ans, en tant qu'altiste. Cela fait maintenant près de 5 ans qu'il y joue, et y vit la plupart du temps, retournant de temps en temps chez son mécène, à qui il voue une admiration sans nom, et une reconnaissance inestimable. Ou plutôt... à qui il vouait. Celui venant de décéder il y a peu. Il ne lui reste alors plus que Elisabeth sur laquelle il a reporté son dévouement sans concession. Un dévouement possiblement étouffant parfois.


Famille :


Origine / Nationalité : Né en Hongrie, il vit en France depuis trés jeune. Depuis ses septs ans... Ils se considère donc plus français que hongrois.

Père : Tobias Zmeskall
Mère : Katalin Anne Drömasczy
Frères et sœurs : 5 autres frères et soeurs, tous plus grands que lui. Dans l'ordre : Antal, Ervin, Cécilia, Erzsebet et Eleonora, respectivement âgé de 7 ans, 6 ans, 4 ans, 3 ans et un an de plus que lui.
Autres : sa famille d'adoption, à savoir la famille de son mécène.



Autres Informations :

Instrument pour les musiciens : alto

Place dans l'Orchestre pour les musiciens : postes d'alti donc

Eventuellement carrière musicale : Il est entré trés jeune à l'Opéra Garnier. A ses dix-sept ans plus exactement, il y a 5 ans, alors que l'Opéra rouvrait tout juste ses portes. S'il a pu entrer si vite et si jeune, c'est surtout grâce à son mécène, celui à qui il doit tout... ou presque.

Relations amicales / amoureuses / ennemies :

- Il a peu d'amis, vu le mépris et le dédain qu'il s'obstine à afficher régulièrement. Mais les peu d'amis qu'il a, il leur est plus que loyal.
- Ses parents ou sa famille? Il ne les a pas vu depuis qu'il est entré au service de son mécène. Et pour tout dire, vu le meu de considération que lui offrait son paternel, il n'en a que faire. Ses frères et soeurs ne lui manquent guère... petit dernier d'un ribabelle de 6 enfants, peu étonnant me direz-vous. Peut-être regrette-t-il d'avoir été ainsi séparé de sa mère? Mais... la vie est ainsi, non?
- Son mécène. Il lui est entièrement dévoué. Un mécène qui, en le prenant à son service alors qu'il n'était qu'un enfant, lui a en fait donné une éducation musicale, littéraire et sociale... un mécène qui l'a fait également entré au sein du fameux orchestre de l'Opéra. Il lui doit tout. Peut-être parfois un brin de rancoeur peut ressurgir envers cet homme qui l'a séparé des siens, de sa mère surtout, et qui l'a quasiment acheté, ni plus ni moins, mais il sait aussi qu'il lui doit tout. Beaucoup. Il lui doit sa vie en fait.

Autres :
- Elswyn sait parler couramment deux langues : le hongrois et le français. Il n'use toutefois du hongrois qu'en quelques rares occasions, surtout lorsuq'il est en colère ou lorsqu'il est choqué.
- Outre son don musical incontesté, Elswyn sait aussi particulièrement bien manier les petites lames, le lancer de couteaux et autres jeux saltimbanques de ce genre ayant été l'une de ces rares spécialités en ce domaine.
- Il est ambidextre.





Vous :

Pseudonyme / Prénom : Beaucoup, Pascale de mon vrai prénom.
Age réel du demandeur : 27 ans
Localisation : (France/Quebec/Autre...) France, Paris même.
Temps consacré sur Internet par jour : beaucoup.


Vous et le forum :

Comment avez-vous découvert le forum? Rikkiiiiiiiiiiiii^^
Qu'est-ce qui vous a attiré dans ce forum au point de vous y inscrire? Le concept, je ne connais pas l'histoire mais ele m'intéresse lol
Autre, si le coeur vous en dit : Longue vie au fofo!

Cher fantôme, aux mystérieux déboires,
Me voilà prêt à vous composer une symphonie
Moi présomptueux Alti pronant l'ironie,
espèrant être à la hauteur de vos espoirs.^^

Que dire si ce n'est que je suis flatté, plus même, par tant d'ovation. Vous allez me faire rougir, cher fantôme et cher admin...^^

Reedit : je me suis permis de faire quelques ajouts, qui selon moi avaient été outrageusement oubliés :

- dans signe particulier, une légère modification qui prendra tout son sens dans les états d'âmes :

Citation :

Il présente quelques vieilles cicatrices, en particulier dans son dos, mais aussi sur le bras droit (due à une ancienne fracture) et une cicatrice à peine imperceptible sur l'acarde sourcillière droite, témoignages d'un passé, pas si passé que ça, un peu violent, comme le passé de tout enfant des rues... ou totu simplement un brin turbulent comme tout garçon de son genre...

- à la toute fin de son passé, une autre petite rectification, puisque je viens d'apprendre le décès de mon mécène^^ :

Citation :

à qui il voue une admiration sans nom, et une reconnaissance inestimable. Ou plutôt... à qui il vouait. Celui venant de décéder il y a peu. Il ne lui reste alors plus que Elisabeth sur laquelle il a reporté son dévouement sans concession. Un dévouement possiblement étouffant parfois.

- dans sa famille :

Citation :

Autres : sa famille d'adoption, à savoir la famille de son mécène

je les avais oublié, les pauvres lol
- après relations :

Citation :

Autres :
- Elswyn sait parler couramment deux langues : le hongrois et le français. Il n'use toutefois du hongrois qu'en quelques rares occasions, surtout lorsuq'il est en colère ou lorsqu'il est choqué.
- Outre son don musical incontesté, Elswyn sait aussi particulièrement bien manier les petites lames, le lancer de couteaux et autres jeux saltimbanques de ce genre ayant été l'une de ces rares spécialités en ce domaine.
- Il est ambidextre.

Il me semble que c'est tout^^