Raoul de Chagny

Nom : Delarouet de Chagny
Prénom(s) : Raoul Désiré Sébastien
Surnom (s) : aucun... enfin, à mon humble connaissance.
Âge : 23 ans
Sexe : masculin, quelle question !
Date de naissance : 18 janvier 1858.
Lieu de résidence : Une résidence en province (Finistère) et une autre à Paris, où il demeure pour l'instant.
Profession : capitaine du vaisseau Les Pleurs d'Atlante, mécène de l'Opéra Garnier.





Description physique : Du haut de son jeune âge, le vicomte de Chagny profite encore des avantages qu'apportent les fleurs de la jeunesse ainsi que l'exercice quotidien. Marin de profession, le vicomte voit dans ses obligations entre autres le fait de pratiquer quelques sports comme la natation ou encore l'art de hisser une voile ou de manipuler un gouvernail sans mener son navire à prendre l'eau ! Du fait desdits exercices, le vicomte de Chagny peut se dire doté d'une musculature relativement conséquente, sans toutefois avoir la carrure d'un docker noir américain : ça jurerait avec son titre. Mais passons plutôt à l'aspect général du vicomte, cet aspect de lui que l'on n'a le loisir d'observer que lorsqu'il est à quelques mètres de vous seulement, et s'approche de son pas léger vers vous.

Raoul de Chagny est de taille moyenne, avoisinant le mètre soixante-quinze. Il est de corpulence toute aussi moyenne que sa taille, à savoir ni trop svelte, ni trop enrobé, corps sain signe d'une vie active et de toute évidence bien remplie. Vêtu d'une manière on ne peut plus courante pour les jeunes gens de l'époque, mais dont les étoffes trahissent sans difficulté l'appartenance sociale et la richesse de la famille Chagny, il s'efforce d'avoir l'air des plus courants et de ne pas trop se mettre en valeur. Si son uniforme de marin est toujours aussi galonné qu'il se doit, s'il porte le haut-de-forme le plus souvent, et s'il tient une canne d'acajou à pommeau doré assortie à sa montre à gousset, si ses vêtements sont d'un tissu fin sans en devenir précieux, alors son apparence dénote un jeune homme d'une certaine modernité, sacrifiant aux convenances sans jamais exagérer. Il est toutefois à noter que le vicomte ne passe pas toute sa vie habillé en marin : homme du monde avant tout, il met un point d'honneur à s'habiller de manière convenable (cela dénoterait-il un brin de coquetterie ?), souvent dans des tons chauds et sobres : écru, sable, beige, chataîgne, marron, et parfois même un peu de cramoisi. Le plus souvent, le vicomte porte pantalon, chemise et redingote, auxquels il ajoute un noeud de lavallière (ou un ascot) décoré d'un bouton doré parfois garni d'un joyau, seule exception qu'il se permette à sa règle de sobriété.

Maintenant que voilà exposée sa manière habituelle de se vêtir, il vaudrait mieux exposer l'homme auxquelles seyent ledits vêtements ! Outre sa taille et sa carrure, mieux vaut aussi parler de son visage. Que voit-on au premier abord ? Une opulente chevelure d'un châtain tirant sur le roux (ou d'un roux tirant sur le châtain ?), d'une longueur lui tombant aux épaules dans une cascade ondulée. Sous ces cheveux assez souvent noués toutefois (plus particulièrement à bord. Avoir les cheveux dans la figure lorsque l'on a un bateau à diriger n'est pas la meilleure idée qui soit) se cache le visage. Et quel visage ! La peau satinée, cuite par le soleil et l'air marin sans toutefois en devenir brune, dépourvue de toute ride, lui donne une mine éclatante de santé sans en devenir une mine de métis. Le front, un peu trop bas et large, mais modelé avec élégance, est serti de deux sourcils bruns et broussailleux sous lesquels se cache les yeux. Joyaux d'aigue-marine (n'est pas capitaine qui veut !), un peu trop petits et renfoncés dans le visage, brillent d'un éclat rieur, semblent ne pas connaître la tristesse ou la colère. Le nez aquilin, les pomettes hautes, le menton délicat, entourent la bouche : deux fines lèvres à peine plus colorées que le reste de son visage, étirées le plus souvent en un léger sourire. Point d'artifices, point de moustache ou de favoris. Son aspect de jeune homme un peu éfféminé lui convient très bien ainsi.

Signe particulier : Raoul de Chagny a une chevelure à la couleur caractéristique "Chagny". Il est également doté d'une cicatrice à l'épaule gauche, souvenir d'une chute d'enfance.


Description psychique et caractère : Raoul de Chagny peut s'avouer doté d'un caractère plutôt faible. Avec lui, point de grandes colères, d'élans passionnés ou d'autres crises de jalousies. La pondération reste son credo, le calme son compagnon de tous les jours. Est-il pourtant incapable de force de caractère ? Difficile à dire. Certes, il a assez d'autorité pour assumer ses fonctions de capitaine, ce qui en soit d'ailleurs est plutôt primordial, mais de là à dire qu'il fait un capitaine tyrannique et exécrable, il y a une marge qu'il n'est point prêt à franchir ! Mais comment parler exactement des qualités et des défauts du jeune vicomte ?

Commençons par les qualités, si vous le permettez. Le calme, la maîtrise de soi, le flegme autrement dit, est peut-être le trait prépondérant de son caractère, et a l'avantage de le faire paraître presque anglais dans ses attitudes, quoiqu'il soit purement de souche bretonne. Jovial, le vicomte de Chagny l'est assurément. Sans cesse le sourire aux lèvres et les yeux brillants, il a l'art de semer la bonne humeur dans son sillage... enfin, c'est une métaphore bien entendu. Jamais Raoul n'aura eu l'imbécilité de tenter de semer quelque chose d'immatériel. Si le vicomte n'est pas du genre trop prompt à montrer ses sentiments au grand public, il n'en reste pas moins passionné, fidèle jusqu'à la mort et dévoué corps et âme à l'élue de son coeur... en l'occurence Christine, et ce depuis leur plus tendre enfance il y a déjà quinze ans de cela. Aimant, doux et docile, le vicomte n'est pas du genre à enlever sa belle ni à faire preuve d'un grand courage, préférant faire face, voire même s'effacer, devant l'ennemi s'il le fallait. Pourtant, Raoul est doté d'un petit peu de courage.... oh pas grand chose, certes, mais vous savez, l'amour est capable de grandes choses, de si grandes choses... comme de rendre un peu de courage à un homme habitué au commandement. Si Christine est en jeu, alors Raoul prendra ce frêle courage entre ses deux mains d'aristocrate, et se ruera dans la gueule du loup tout en espérant secrètement que ce moment n'arrive jamais. Résumer les bonnes facettes du caractère du vicomte est donc, après ce développement, relativement aisé. Il est doté d'autorité et de panache, mais n'en fait que peu usage. Calme et introverti, il reste capable d'aimer ; et lorsqu'il aime, c'est pour la vie. Ce n'est pas un homme de tête, mais il est capable d'une once de courage de temps en temps. Il est jovial et bon enfant, mais capable de sérieux lorsque le temps est aux stratégies. Il est donc un homme en général affable et courtois, que les circonstances peuvent rendre moins agréable à vivre.

Mais passons aux mauvais côtés de ce personnage. Si l'apparence physique ne le dénote guère, le vicomte de Chagny est imbu de son titre et de l'ancienne puissance de sa famille. C'est un Chagny, il en est fier, malheureusement. La noblesse coule encore dans ses veines son sang bleu, et, le vicomte ayant reçu une éducation traditionelle, il ne sera pas rare de le voir sacrifier aux mondainités : il parle de manière ampoulée lorsqu'il est en société, mais sèchement lorsqu'il est à bord, lorsqu'il se sent, à l'instar du Roi Soleil, Maître de l'Univers. Prétentieux lui convient donc bien ! Fat, dirait-on même, pour plagier Edmond Rostant et son célèbre Cyrano. Ajouté à ce caractère pédant par nature, sa timidité ne cesse de lui jouer des tours de cochons : incapable d'affronter une femme (surtout sa fiancée) de front, se masquant derrière les convenances pour mieux paraître distant et accroître ce masque flegmatique que je plaçai précédemment dans ses qualités notoires. Il faut aussi dénoter ce penchant avoué pour la solitude : ses moments préférés sont ceux où il a l'occasion de contempler la mer, assis sur la plage, sur une digue ou sur un rocher. L'eau est son élément naturel, de fait. Morose et mélancolique par instants, le vicomte souffre d'un certain lunatisme dans certaines situations, ce qui ne l'aide guère en règle générale. Mais il faut croire qu'il faut s'y faire...
Pour résumer ses défauts, nous pouvons donc dire que Raoul est doté d'une copieuse ration de suffisance, assaisonnée de timidité surtout à l'égard de la gente féminine ; qu'il est un solitaire avoué, et qu'il a ceci de rêveur et de mélancolique qui le rend un peu distant. Et le pire de tout : il ne changera pas d'un iota.


Ce qu'il/elle aime et ses passions : Le vicomte de Chagny aime de fait deux choses : la première, la mer. Sa passion pour elle remonte à sa plus tendre enfance, sur le pont du navire de monsieur son père, en son sein lorsqu'il repêcha l'écharpe de mademoiselle Christine Daaé, en proie au tanguage du bateau sur le roulis. Comment s'étonner par la suite qu'il soit devenu marin ?
Mécène des arts, Raoul apprit autrefois à jouer du piano et du violon. Il eut pour professeur le père de Christine Daaé, mais n'excella jamais dans les arts. S'il apprécie grandement musique et théâtre, jamais il ne se sentira capable d'officier sur scène, à la grande différence de sa cousine éloignée Elisabeth. Néanmoins, ça ne l'empêche pas de pratiquer le mécénat et de fréquenter assidûment, entre deux voyages en mer, le monde de la musique.

Ce qu'il/elle déteste ou ses phobies : Raoul déteste avant toute chose l'inactivité : elle lui pèse tant qu'il s'arrangera toujours pour y échapper de son mieux : voyage impromptu en mer, soirées à l'Opéra ou au bal, ou simple promenade dans la ville ou à la campagne : tout est bon pour se distraire !
De plus, il déteste aussi tout ce qui a trait à l'amour excepté en ce qui concerne Christine : les attitudes à la Don Juan, très peu pour lui !
Raoul ne souffre que d'une seule phobie, celle de voir celle qu'il aime être ravie à lui. Bien qu'il ne brille pas exactement par son courage, il en reste assez vaillant pour défendre sa belle... Enfin, c'est à espérer.

Passé :

Raoul Désiré Sébastien de Chagny, fils cadet de Philippe Henry de Chagny et de son épouse Aimée-Rose d'Aubespin de Lontages, naquit peu après la mi-janvier 1858 en leur demeure de Concarneau, dans le Finistère. Bretons d'origine, les comtes de Chagny nourissaient depuis des temps immémoriaux la même passion pour la navigation et pour la mer : si les proches parents (dont le propre père de Raoul) de la petite famille étaient pour l'essentiels des officiers de la marine impériale, les ancêtres celtes de la famille quant à eux ayant été pêcheurs, marins vikings ou autres, le propre fils aîné Philippe ne semblait pas voué à la même voie, ce qui décevait fort le comte Philippe Henry. Mais revenons-en à Raoul. Dernier fils de la famille donc, Raoul eut droit à toutes les attentions de la famille de Chagny, depuis son frère aîné Philippe à sa soeur Caroline en passant par Andrée-Marie. Les dix premières années de la famille furent pratiquement idylliques, calfeutrés qu'ils étaient dans leur douillet manoir, sur le pont des Pleurs d'Atlante, bâtiment de la marine impériale commandé par Philippe-Henry, ou encore dans une barque de pêche au bord de l'océan Atlantique ou sur un lac.

Mais ces années idylliques ne devaient pas durer, et bientôt le malheur frappa la petite famille de par le décès du père. Philippe-Henry était alors âgé de soixante ans bien comptés, son épouse de quarante-six seulement. En héritage étaient non seulement la fortune des Chagny, mais aussi le bâtiment du père. Tout revenait par droit d'aînesse à Philippe, qui refusa tout de go le commandement des Pleurs d'Atlante. Si le bâtiment resta ancré dix ans durant, attendant désespérément son héritier, le reste de la fortune Chagny revint à Philippe, qui se montra d'ailleurs un excellent gestionnaire. Mais revenons-en à la mort du père. Peu après son décès vinrent se produire chez la famille Chagny deux musiciens, un père et sa fille (sensiblement du même âge que Raoul, environ quatre ans plus jeune, donc âgée de six ans), d'origine nordique. La manière dont ils se rencontrèrent fut pourtant tout ce qu'il y a de plus étrange. Alors que la petite Christine jouait sur le sable blanc de la plage de l'Atlantique, son écharpe, simple morceau de soie élimé, fut emporté par le vent et alla se déposer sur l'océan. Si Christine en fut vivement dépitée, ce ne fut pas le cas du vicomte, qui alors se baladait à cheval avec sa gouvernante Marie Dolin et son frère Philippe. Raoul sauta à bas de son cheval, et, ôtant cape, veste et soulier sur la grève, se glissa dans l'eau glacée et ramena l'écharpe détrempée à la demoiselle. Si la gouvernante se récria, Philippe se contenta de sourire du haut de ses trente ans. Et les Daaé se retrouvèrent bien vite invités à venir se réchauffer devant l'âtre de la famille Chagny. Si le jeune vicomte prit rapidement en amitié père et fille, qu'il en venait presque à considérer comme sa soeur et son père de substitution, la famille Chagny en elle-même avait plus de mal à s'y accomoder. Mais qu'importait, pourvu que Raoul en soit heureux !

Les Daaé, car tel était leur nom, et Raoul, passèrent alors une enfance et un début d'adolescence heureux : trois ans ensemble, à vivre mille et une frasques au bord de l'eau ; à entendre Gustav Daaé raconter les histoires de l'Ange de Musique ; à jouer eux-même de la musique avec le plus grand violoneux de Suède. Christine chantait magiquement, et lui, Raoul, n'était pas à même de la suivre au piano, bien qu'il l'eût voulu. Trois ans d'idylle encore, après le bref intermède de malheur. Trois ans qui eurent néanmoins une fin, et des moins heureuses : s'ennuyant de son errance, le père Daaé prit un beau jour congé de la petite famille Chagny, désirant poursuivre sa vie de violoneux. Quelques mois menèrent la famille de par les routes jusqu'à Paris, où Gustav mourut, et Raoul perdit toute trace de Christine, dont il était entre temps tombé amoureux.

Pris d'un certain spleen à cette nouvelle du décès de Daaé, le vicomte Raoul ne chercha pas immédiatement à retrouver Christine. Que du contraire, désirant s'abîmer dans d'autres tourmentes que celles de l'amour (la grande spécialité de son frère Philippe), il souhaita s'abîmer en mer, et reprit, à seize ans, le commandement du bateau que leur avait légué leur père à son décès. Heureuse idée. Il passa deux ans à apprendre le métier d'officier de la marine avant d'aller officier sur le batiment de son père, commandé par un proche de la famille (de fait, l'ancien second du comte de Chagny) avant de prendre à son tour le commandement. La guerre était finie depuis peu, lui-même n'y prit point part, trop occupé qu'il était sur ce bâtiment à errer quelque peu en mer. Les Pleurs d'Atlante reprirent le large avec plaisir, et dès lors Raoul se consacra à son travail de capitaine de navire pour la nation française : surveiller les côtes (alors peu menacées) de l'Atlantique. A vingt-trois ans, il quitta pourtant temporairement son navire : appelé à Paris pour régler quelques affaires de succession, il ne savait pas que sa vie allait prendre un tournant décisif.

En effet, alors qu'il passait son temps à Paris, gérant depuis peu sa part de l'héritage depuis le décès de sa mère Aimée-Rose d'Aubespin de Lontages, il lui arriva de se retrouver à l'Opéra, assistant à une représentation de Faust. Le choc fut intense : sur scène, à deux pas de ses yeux ébahis, se tenait, radieuse, Christine Daaé. Depuis lors, la vie du vicomte s'était comme suspendue : il lui fallait lui parler, la féliciter pour sa prestation, l'assurer de son amour ! Mais il ne tarda guère à déchanter : profitant de son absence, un autre s'était arrogé Christine Daaé. Un autre qu'elle n'avait jamais vu, mais qui lui parlait, un Ange de Musique. Un imposteur aux yeux d'un Raoul des moins crédules. Un imposteur dangereux à démasquer. Et un danger pour sa chère Christine.


Famille :


Origine / Nationalité : noblesse Française

Père : Philippe Henry de Chagny
Mère : Aimée-Rose de Chagny née d'Aubespin de Lontages
Frères et sœurs : Philippe de Chagny (43 ans), Andrée-Marie de Chagny (37 ans) et Caroline de Chagny (25 ans). Cinq frères et soeurs morts-nés ou morts en bas-âge.
Autres : le père Daaé, et sa fille Christine dont il est amoureux.
Marie Dolin, la gouvernante.



Autres Informations :

Instrument pour les musiciens : Hélas, je me vois fâcheux musicien...

Place dans l'Orchestre pour les musiciens : Aucune, je le crains

Eventuellement carrière musicale : Pitoyable pianiste, je n'ai jamais excellé en la musique.

Relations amicales / amoureuses / ennemies :
Relation amoureuse : Christine Daaé
Relations amicales : sa cousine éloignée Elisabeth d'Aubespin de Lontages, les directeurs de l'Opéra, la signora Carlotta, la plupart des musiciens.
Relations ennemies : le Fantôme de l'Opéra. Sa haine à son égard n'a pas d'égale.






Vous :

Pseudonyme / Prénom : Raoul de Chagny... pourquoi ?
Age réel du demandeur : dix-sept ans
Localisation : Tout aussi provinciale que le cher Raoul
Temps consacré sur Internet par jour : variable, malheurement... très variable...


Vous et le forum :

Comment avez-vous découvert le forum? Mon cher Erik !
Qu'est-ce qui vous a attiré dans ce forum au point de vous y inscrire? C'est le seul que je connaisse sur le Fantôme
Autre, si le coeur vous en dit : Perhaps you know me...
Ah au fait, j'ai mélangé un peu tout (le livre et le film principalement) pour créer ce Raoul... J'espère qu'il vous convient.

A l'ennemi implacable,
Qui du haut de ses toits,
Nargue de son air peu affable,
Les gens ici bas.

Oh toi, Fantôme de l'Opéra !
Qui derrière ton masque vénitien,
Contemple la ville Lumière d'un air serein,
Bientôt, la vérité éclatera !

Bientôt, abandonné tu seras,
En proie à la misère et aux rats,
Et alors, tu t'en souviendras encore,

La musique n'a pas réelle valeur,
Si ce n'est celle du coeur,
Mais le coeur a ses raisons que la raison ignore.

Joli avatar à partir de Lestat (n'est-ce pas ?) et agréable sonnet, à conclusion très philosophique
Au reste ça me va assez bien, j'aurais juste à faire remarquer les études de marin un brin courtes... Enfin pour l'époque c'est encore acceptable je pense. Les autres ? Qu'en pensez-vous ?

Jolie fiche. Je connais peu le personnage, donc ne peux attester de la fidélité accordée à l'originel, mais j'aime beaucoup cette fiche. Ou comment cerner assez bien un personnage intéressant en quelques lignes.

Quelques lignes fort agréables à lire d'ailleurs, ce qui ne gâche rien. ^^


Je suis sûr d'ailleurs que le fantôme se délectera de cette Ode fort savoureuse...